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Une scierie fournit des avantages environnementaux et économiques à une communauté forestière en Colombie-Britannique

By Jack Petree, Tradeworld Communications

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Harrop-Procter LT70 scierie

En 1999, des milliers d’heures de travail bénévole dévoué et plus de 20 ans de participation provenant de la communauté ont permis l’incorporation de la Coopérative communautaire Harrop-Procter. Cette coopérative a été formée afin de gérer les terres forestières publiques qui entourent une petite communauté du sud-est de la Colombie-Britannique, au Canada. Depuis sa création, au fil des ans, et par la gestion de la forêt communautaire de Harrop-Procter, la coopérative a acquis une renommée internationale, réputée pour être l’une des communautés à vocation forestière de l’Amérique du Nord ayant le mieux réussi. Une scie Wood-Mizer joue un rôle primordial, en permettant à la Coop d’atteindre ses buts, soit d’employer des pratiques forestières écologiques, afin de protéger l’intégrité de la forêt et des bassins hydrographiques, tout en stimulant l’emploi local.

 

 

Les opérations de sciage, Produits forestiers Harrop-Procter, sont une division de la Coop qui fournit des stratégies à valeur ajoutée pour développer l’emploi local, si important pour les 600 résidents de la communauté de Harrop-Procter. Chaque année, tout près de 10 000 mètres cubes de billes (2 800 000 pieds-planche) sont prélevés dans les 11 300 hectares (28 000 acres) de la forêt communautaire, en utilisant des stratégies bien planifiées, afin de minimiser la perturbation des terres et maintenir la pérennité des bassins hydrographiques. En gestion durable, cette stratégie serait l’équivalent de prélever un arbre par acre, par année, en moyenne. Près du quart de ces billes sont transformées en une variété de produits, incluant matériaux bruts de sciage et matériaux planés, moulures, clôtures, planches de galerie, poutres pour constructions en pièces sur pièces, parement, bois de plancher et lambris. Les billes non sélectionnées sont vendues à d’autres scieries de la région.

 

 

Puisque les forêts communautaires et autres entités semblables sont gérées avec une vision large au sens social, environnemental et économique, leur réussite est un témoignage de la gestion de la Coop et de la scierie. Et bien que la scie et la déligneuse aient été achetées à l’aide d’une subvention de Columbia Basin Trust, près de 300 000$ de dettes diverses ont été payées, et maintenant la scierie est libre de dette. Publique, privée, familiale, tribale, à but lucratif, sans but lucratif, ou toute autre entité gérant une forêt de manière responsable pourrait visiter Harrop-Procter et voir la scierie en opération. C’est un modèle d’efficacité compacte. La scierie est installée de manière à réduire les déplacements et optimiser la production : beaucoup d’activité dans peu d’espace.

 

 

La première transformation de la bille débute lorsque les billes arrivent à une scie LT70 de Wood-Mizer. Le débitage ayant lieu toute la journée durant, à chaque journée d’ouvrage, des billes sont transformées en matériaux, planches, poutres ou équarris. À la sortie de la scie, les matériaux bruts sont pilés selon leurs dimensions ou acheminés vers une déligneuse EG200 de Wood-Mizer, pour être délignés. Le bois destiné à la seconde transformation est séché dans un séchoir par déshumidification KD250 de Wood-Mizer et transformé par divers outils à bois placés le long de la chaîne de transformation. Les lames sont maintenues dans un état optimal par un centre d’entretien de lames, qui inclut l’affûteuse industrielle BMS500 de Wood-Mizer.

 

 

Bien qu’économiquement viable, ce qui compte pour les gens de Harrop-Procter est que la scie permet d’atteindre des buts non reliés à l’économie. Autrement, les coupes à blanc considérées par la province auraient eu des effets considérables directement sur les bassins hydrographiques de la communauté, en très peu de temps, avec des conséquences néfastes importantes à long terme. Cette scierie locale permet à la Coop de planifier des prélèvements forestiers selon des principes écologiques et durables, réduisant les effets à long terme sur les bassins hydrographiques, pour le maintien de l’écosystème et de la qualité de l’eau. Ce modèle d’opération permet de créer des emplois locaux, qui n’auraient pas existé sans la scierie. Les coupes à blanc qui avaient été proposées auraient impliqué l’embauche d’entrepreneurs forestiers de l’extérieur, et les emplois seraient offerts à l’extérieur de la communauté.

 

 

Selon le directeur de la scierie, Rami Rothkop, « Nous transformons environ 2 500 mètres cubes (1 059 400 pieds-planche) par an et les emplois directs qui en résultent sont l’équivalent de 7 à 8 temps-plein, ce qui est environ 3.3 emplois par 1 000 mètres cubes (42 300 pieds-planche). L’industrie en C.-B. a une moyenne de 0,7 emploi par 1 000 mètres cubes, l’un des taux les plus bas au monde, dans une province qui possède parmi les meilleures qualités de résineux à l’échelle globale. David Strom, le scieur et directeur technique, dit que Produits forestiers Harrop-Procter emploie cinq personnes à temps plein, un expert-forestier à mi-temps, un directeur de bureau, 1/5 du temps, et un commis-comptable, 1/5 du temps. « À l’été, nous embauchons aussi quelques étudiants, et nous embauchons des bûcherons et des ouvriers de la région, pour l’équivalent de 2 temps pleins. » En plus de générer de l’emploi dans la communauté, Strom souligne que « Nous donnons environ 10 000$ en matériaux pour des projets communautaires, tels qu’un quai public pour la pêche, un parc pour la bicyclette, et des jardins communautaires.

 

 

Selon Rothkop et Strom, entres autres avantages, c’est que l’on retire du flux de déchets du bois que les opérations de sciage traditionnelles considéreraient comme indésirable ou inutile. Transformer et vendre du bois localement, plutôt que d’expédier les billes et racheter des matériaux finis réduit considérablement l’empreinte carbone du bois transformé et utilisé. De plus, la technologie de lame à trait de scie mince augmente le volume de bois récupéré dans chaque bille.

 

 

Alors que Wood-Mizer a créé depuis plus de trente-cinq ans, un marché viable pour les scies à trait de scie mince, le Service Forestier des E.U. et plusieurs recherches ont démontré que l’approche trait de scie mince contribue à l’échelle mondiale à réduire considérablement l’empreinte carbone dans le domaine de la construction. Harrop-Procter démontre que les avantages environnementaux, sociaux et économiques favorisant une communauté peuvent être réalisés en opérant une scierie.
 

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